Le contrôle de viscosité BioBANG: le chaînon manquant pour le succès définitif dans la production de biogaz et biométhane

Le cavitateur BioBANG est la technologie pour les installations de biogaz et biométhane, qui exploit 100% d’énergie physique de la cavitation contrôlée. BioBANG garantit le contrôle de la viscosité dans le digesteur de l’installation, aujourd’hui obtenu en agissant sur les mélangeurs, sur les recirculations de digestat et sur le rapport liquide/solide. BioBANG rend la rétention des installations flexible, constante et efficiente.

Tout de suite nous racontons l’expérience d’un propriétaire d’installation de biogaz, qui se trouve confronté avec un problème de viscosité, bien résolu avec l’installation de BioBANG.

« Quand j’ai acheté l’installation de biogaz, je n’avais pas idée des problèmes plus difficiles de affronter. Je pensais qu’il y avait réactions biologiques complexes, qui sont difficiles de comprendre pour les non-expertes, régulations incessantes de procès, mélanges de étalonner, mais personne m’avait jamais parlé des difficultés du mélange dans le digesteur. Je n’avais pas compris combien était complexe gérer mon « étable », en garançant à tous les bactéries les conditions correctes.
Au début, je produisais biogaz en utilisant seulement produits très digestibles, tel que l’ensilage de maïs, mais après, à cause de l’indisponibilité du produit (l’année dernière la grêle m’a causé la perte de 30% du récolte !) j’étais obligé à utiliser aussi autres matériels moins chers. Mais, quand je changeais le régime avec un autre produit plus fibreux, quelque chose se passe à le mélange.
Après plusieurs tentatives dans le déplacement des mélangeurs, qui impliquaient main-d’œuvre et comportaient plusieurs heures d’observation de les hublots, je trouvais une autre combinaison de hauteur, temps d’actionnement et orientation, qui me permettaient de rejoindre un nouveau punt d’équilibre. Pour quelques jours tout se passait bien, mais peu de temps après, on revenait aux conditions originales. Je revoyais affleurements apparaître de la soir au matin, le niveau du liquide à l’intérieur changeais, comme si il se gonflait, et alors on partait encore avec les déplacements des mélangeurs, toujours à la recherche de un nouveau et définitif équilibre. Et quand les mélangeurs ne réussissaient pas à faire leur travail, pour faciliter l’homogénéisation, j’essayais à ajouter liquide et augmenter les recirculations du digestat de la phase finale au chargement.
Tout cela se traduisait en un augmente des coûts de pompage, de mélange et de séparation solide-liquide, avec une réduction conséquente des temps de rétention des solides et, en définitive , du rendement. Je devais utiliser de nouveau l’ensilage de maïs et je perdais les opportunités que j’avais avec l’utilisation de biomasses peu coûteuses, mais difficiles de homogénéiser dans le digesteur.
Mais un jour, j’ai compris que le problème n’était pas le mélange, mais la difficulté de tenir en suspension un mélange des matériaux difficilement compatibles entre eux : plus liquide j’ajoutais pour faciliter le mélange, plus je devais actionner les mélangeurs, pour éviter que le matériel fibreux affleurait ou se déposait. Une triple perte, en somme : une augmentation des coûts, une aggravation de l’efficience et moins des chances d’utiliser produits plus avantageux.
J’ai compris que la suspension des matériaux fibreux dans la phase liquide n’est pas liée à la concentration de matière sèche, mais à la viscosité (la viscosité est la somme des forces qui limitent le glissement des fluides : plus elle augmente, plus les matériaux fibreux restent en suspension), et que la seule manière pour augmenter cette grandeur était broyer la biomasse au chargement et chercher de diluer le mélange le moins possible. Ce faisant, toutefois, le system restait encore instable, strictement dépendant de les mélangeurs et, à chaque problème de fonctionnement d’eux, je courais le risque de perdre l’équilibre que j’avais trouvé si difficilement.

Le mélangeur, en effet, permit de contenir la tendance naturelle des matériaux de se séparer, en fonctionne de la différente densité que les caractérise (facilitée, par ailleurs, du mot ascendant du gaz qui se forme sur le fonde du digesteur), mais il n’élimine pas les causes profondes du phénomène.
Quand j’ai découvert BioBANG, j’ai compris sa capacité de éliminer en manière stabile e définitive la tendance caractéristique à la flottaison des matériaux fibreux. Son action est complète : il casse les tissus creuses, en réduisant la flottaison, et rend minimum les frottements entre les particules en suspension. En cette manière, les couches de matériel floutant, qui créent plusieurs problèmes hydrauliciens, ne se forment plus et son action permit au même temps de travailler avec une concentration de matière sèche plus haute.

La viscosité se maintient stabile et basse, mais avec une haute capacité de suspension des liquides, je peux utiliser moins les mélangeurs et je ne dois pas les régulier continuellement. La calme majeure, qui dérive de cette organisation, favorise les procédés biologiques et, au même temps, la fuite du gaz.

En dernière analyse, BioBANG a éliminé totalement mes problèmes hydrauliciens qui dérivent de modifications incessantes du régime, il m’a permis de saisir tous les opportunités économiques qui dérivent de la disponibilité de matériaux moins coûteux et (pourquoi pas?) me mettre à l’abri des chutes de grêle. Conseillé à tout le monde. »